Soulager les douleurs articulaires avec une médecine douce
Les douleurs articulaires peuvent se révéler très handicapantes au quotidien. Arthrite et arthrose empoisonnent la vie de nombreux Belges empêchant la pratique d’activités physiques parfois très banales comme la marche ou le jardinage. Passé l’âge de 50 ans, les douleurs articulaires sont plus courantes, mais sont loin d’être une fatalité. Si la prise d’antalgiques et d’anti-inflammatoires peut provoquer un soulagement, il existe d’autres traitements qui permettent d’atténuer les affections rhumatologiques comme la mésothérapie.
Traiter les rhumatismes avec la mésothérapie
La mésothérapie est une technique médicale qui consiste à injecter de petites quantités de médicaments allopathiques ou biothérapiques directement dans la peau à proximité des zones douloureuses. Elle est particulièrement efficace pour soulager les douleurs articulaires causées par les rhumatismes et peut supprimer la prise de médicaments ou les injections de corticoïdes.
Les médicaments utilisés lors des injections ont des propriétés anti-inflammatoires, analgésiques et régénératrices. Ils agissent directement sur les tissus affectés, réduisant l’inflammation et la douleur, et favorisant la régénération des cellules endommagées. Ce traitement est indolore malgré la présence d’aiguilles et ne provoque pas de saignement. La plupart des patients ressentent seulement une légère pression. Le traitement par mésothérapie PRP améliore la mobilité et retarde le développement de la dégénérescence. Ce traitement en ambulatoire est rapide (30 minutes), sûr et s’adapte aux besoins de chaque patient.
La mésothérapie pour quelles pathologies rhumatismales ?
La mésothérapie est tout à fait indiquée pour traiter les pathologies rhumatismales. Elle s’utilise en cas :
d’arthrose cervicale ;
de lombalgie ou de sciatique ;
de syndrome du canal carpien ;
d’arthrose de la hanche, du genou et des chevilles ;
de névralgie du bras ;
de périarthrite de l’épaule ;
d’arthrose des doigts et du pouce ;
d’épine calcanéenne.